Adieu prison, bonjour cohésion !

Inventé en 1794 pour offrir au public la possibilité d’observer des animaux exotiques, les zoos sont aujourd’hui remis en cause et de plus en plus critiqués pour leurs méthodes peu éthiques mais aussi pour l’architecture restreinte de celui- ci. 

Socialement et scientifiquement de nombreuses études montrent qu’il est impossible de reproduire l'espace et la liberté dont les animaux ont besoin dans leur habitat. Paradoxalement avec la promesse d’un “habitat reconstitué” leur captivité entraîne stress, des problèmes de santé mais aussi génétique et physique. 

De plus, les méthodes de préservation ont évolué, en privilégiant la protection des habitats avec l’instauration de parcs nationaux, de corridors écologiques mais aussi avec des régulations sur la chasse et les pesticides. 

L’avenir serait donc de repenser l’architecture des zoos en développant une approche inter-espèces et post-humaine, où humains, faune et flore cohabitent, à l’image des initiatives portées par Terreform ONE.

Marie L & Noelia P